J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine

mercredi 30 juillet 2014

Ce gros, il surlit au micro,


comme on peut surjouer à la scène. Il en fait des tonnes avec sa grosse voix radiophonique des années trépassées. Il oublie de s'effacer derrière l'auteur. C'est Bellemare.

Mais bon, ça m'a permis d'égayer un trajet routier seulabre, avec en particulier, l'histoire de Martin Guerre, par Dumas Alexandre. Intéressant avec en tête l'adaptation ciné de Daniel Vigne, du temps que Depardieu était plus maigre et moins russophile, et Nathalie Baye, toujours impeccable de délicatesse. *
Suivent un choix de "Choses vues" de Hugo, René de Chateaubriant, et une nouvelle de Stendahl, "le coffre et le revenant", choix curieux d'oeuvres que ne rassemblent que leur période historique.




























*Les adaptateurs du film semblent avoir vraiment respecté l'histoire qui fut réellement vécue en son temps, les noms sont respectés, et tout sauf quelques détails, je ne suis pas étonné de voir J.C. Carrière parmi les scénaristes (je me souviens l'avoir entendu dire qu'ils avaient de même respecté l'oeuvre d' Eco en adaptant "Le nom de la rose" au cinéma).
Cette aventure est proprement incroyable, et on comprend que tant d'écrivains, cinéastes et créateurs de tout poil aient tenté sa restitution.
Voir l'article wiki, passionnant. 






















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