J’aime le jeu, l’amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout, Il n’est rien qui ne me soit souverain bien, Jusqu’au sombre plaisir d’un cœur mélancolique. Jean de La Fontaine

lundi 29 septembre 2014

Une bédé niquèle : "Fais péter les basses Bruno !"

de Baru.






Le résumé de l'éditeur, Monsieur Futuropolis, qui a tout compris l'histoire, lui :

"L'histoire commence dans un petit village africain. Ousmane Traoré, célèbre footballeur de passage au pays, repère un gamin doué d'un talent exceptionnel balle au pied. Le gamin s'appelle Slimane. Ousmane lui prédit un bel avenir sur les terrains de fouteballe, mais à une condition : qu'il accepte de faire le voyage en Europe. Et voilà comment Slimane se retrouve planqué dans la soute d'un avion, avant de sauter à terre à l'atterrissage et de se mettre à courir pour échapper aux flics. Il court, court, court sans s'arrêter, sur les voies du périph, à travers champs, il court à s'en faire péter le cœur. Et il devient... travailleur clandestin pour de basses et rudes besognes.
Pendant ce temps-là, Zizou sort de prison. Zizou ? Non, pas le Zinedine Zidane adulé des foules. Un autre Zinedine, lascar de banlieue coupable de quelques peccadilles. A peine dehors, il s'empresse de régler les affaires courantes : renouveler sa garde-robe et dessouder celui qu'il accuse de l'avoir fait coffrer. Ensuite, il décide de se consacrer à son grand projet : mettre la main sur un fourgon de la Brinks et ses 7 ou 8 millions, sans escorte, car à Noel ils sont en manque de personnel. Son coup ultime, « pour finir peinard, en attendant le cimetière, comme une retraite, quoi ».
Le problème, c'est que Zizou a autant de cervelle que de scrupules. Pour réussir son coup, il a besoin d'aide..."






Une planche : deux truands de banlieue débarquent par hasard dans un repas de chasseurs trop arrosé, pléonasme.




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